Malgré une forte contestation populaire, l’armée algérienne a imposé la mise en œuvre de la transition prévue par la Constitution après la démission le 2 avril du président Abdelaziz Bouteflika.
Intronisé le 9 avril chef de l’Etat par intérim, le président du Conseil de la Nation Abdelkader Bensalah s’est empressé de convoquer une élection présidentielle pour le 4 juillet.